CHAPITRE 4 PREMISCE DE LA MAGIE ( 1ère partie )
Apparement il faisait jour car le soleil réchauffait mon visage, j'ouvris les yeux, on était dans une forêt, on aurait dit celle du temple mais celui-ci n'était plus là, il y avait une maison a la place et la prêtresse était à l'entrée.
La prêtresse : "Entrez je vous pris, c'est icic que vous seront remis vos pouvoirs, chaque pièce à traverser correspond à l'un de vous, je vais vous accompagner car il faudra que je scelle la porte des pièces à chaque fois que l'on quittera l'une d'elles."
Morgane : "Mais pourquoi nous?"
La prêtresse : "Si vous avez été choisi, c'est parce que vous avez les coeurs les plus ouvert aux autres."
Nicolas : "Je ne suis pas un saint, avec Charles, on a fait des choses pas toujours bien."
La prêtresse : "Mais c'était toujours pour la bonne cause."
On s'est réunis pour discuter de ce que nous allions faire :
Guillaume : "Vous croyer qu'il faut la croire?"
Charles : "Je ne sais pas."
Nicolas : "Moi, elle m'inspire une grande confiance, je la suis."
Kanako : "Moi aussi."
Guillaume, avec un air amusé : "C'est bien ma soeur ça, quand elle aime un garçon, elle le suivrait jusqu'au bout du monde!"
Kanako devint toute rouge et tout le monde éclata de rire.
La première pièce était vide, à peine était-on rentré que des dizaines de personnages surgirent de toutes parts, sortant des murs.
Morgane : "Qu'est-ce que c'est que ça??"
La prêtresse : "Ce sont des guerriers impériaux..."
Pas le temps de continuer, la prêtresse est enchaînée au mur, tout le monde passe à l'attaque, bien que Kanako et moi avions du mal; mais quelque chose n'allait pas, personne ne pouvait touchezr kanako, une barrière semblait les repousser et les guerrierss disparurent.
La prêtresse : "Bien, la première personne, en l'occurence toi Kanako, a reçu ses pouvoirs."
Kanako : "Je peux créer des barrières de protection???"
La prêtresse : "Oui mais tu peux les créer avec n'importe quoi que ce soit du bois, du métal...Et tu peux créer aussi des barrières élémentales."
Morgane : "Pas mal, c'est qui le prochain?"
La prêtresse : "C'est Charles qui doit faire ses preuves dans la pièce suivante."
Charles, décidé : "On y va."
Et on avança jusqu'à la prochaine porte
Guillaume : "Elle est grande la salle."
Nicolas : "Ouais et je crois savoir pourquoi."
Charles : "Oh merde!"
Kanako : "Et dans l'autre coin..."
La prêtresse : "Oui mais cette pièce ne devait contenir qu'un dragon."
Nicolas : "Un...dragon?!"
Morgane : "Ils sont beaux, je les adore!"
La prêtresse : "C'est bizarre qu'il soit deux."
Elle regarda les 2 dragons puis Charles et Guillaume...
La prêtresse : "Ca y est! J'ai compris, la prophétie disait : A la nouvelle rencontre du dragon et de son maître, le premier aura un jumeau et le deuxième un ami"
Deux épées étaient plantées dans le sol et des squelettes humains jonchaient le sol. Charles et Guillaume se rapprochèrent lentement vers les épées, Charles vers l'épée argentée et Guillaume vers l'épée dorée, c'est alors que les dragons dirent en même temps :
"Si vous retirez l'épée du sol, nous serons à votre service mais prenez garde! Si vous échouez; vous serez tout simplement brûlés"
Des flammes sortirent de leur gueule comme pour les intimider mais Charles et Guillaume ne regardaient déjà plus les dragons et étaient vers les épées qu'ils regardaient en détail.
Charles : "Elles sont belles!"
Guillaume : "Et probablement puissantes."
Nicolas : "Allez-y, j'au confiance en vous!"
Charles : "Pas de problème"
Quand ils touchèrent leurs épées, ils furent entouré d'un halo de la même couleur que leur épée. Soudain les dragons se couchèrent, le dragon doré dit alors :
"Moi, Ryutaiyô, devient le dragon protecteur de Guillaume."
Puis se fut au dragon argenté de parler :
"Moi, Ryutsuki, devient le dragon protecteur de Charles."
Les dragons se volatilisèrent en fumée dans les épées et finissèrent par une phrase : "Pour nous appeler, dites simplement notre nom."
La prêtresse : "Nous pouvons continuer..."
Guillaume ert Charles rangèrent leur épées dans le fourreau qui apparut à la place où était couché les dragons et on passa à la pièce suivante... |