Dans le rêve d 'Allen Vinterfly : Jeune homme de 24ans mesurant 1m78, châtain légèrement bouclés aux yeux vert claire portant des lunettes. Il s'habille amplement avec une chemise blanche et un jean bleu gris. Il porte aussi au poignet gauche trois bracelets et une bouche d'oreille à l'oreille gauche.
Il fût sur le point de prendre sa voiture jusqu'à ce que son frère jumeau Alwin l'interpellait :
-HEY ALLEN ATTEND !!!!!
-Oui Alwin … ? répondu-t-il d'une manière agacée.
-Amènes- moi avec toi, faut que je te parle !
-Aller, montes dépêche-toi je vais être en retard à mon cour de musique. T'as une minute !
Ensuite il démarra la voiture et attendu une bonne minute qui se transforma en 5minutes.
-Voilà p'tit frère tu peux y aller !!! Exclama Alwin
-Je ne suis pas ton petit frère ! Combien de fois faut-il que je te le dise ?
-Si de 10min !!!!
Allen se tût, puis sur le chemin, il lui demanda :
-Alors que voulais-tu me dire de si important???
-Bah tu sais Aya et moi sortons ensemble depuis un bon moment, donc nous avons décidé de se fiancer.
Juste à ce moment là Allen perdit le contrôle de sa voiture et fît un terrible accident qui coûta la vie de son jumeau.
Allen se réveilla en sursaut, en larme et en sueur. Il s'interrogea : « Ça fait déjà combien de temps ? » Tout en regardant une photo de son frère et lui étant petit. « Ca fait 4ans déjà... Pourquoi est est-ce arrivé ? Comment ? »Il regarda son réveil à la suite : vendredi 16, 5H36 afficha l'appareil et alla tout de suite prendre un crayon et une feuille lignée puis commença une nouvelle composition pour ce soir.
Comme tous les vendredi soir, il se rendu au parc avec son violon sous le bras. Il alla sous ce chêne qu'il chérit tant, je joua sa nouvelle mélodie qu'il fît ce jour-là en regardant un téléfilm à l’eau de rose que pour rien au monde il pût avouer en public aimer ce genre de série.
Sa petite composition eu l’air de trouver son public, et il eut heureux intérieurement même si cette douce mélodie ne leurs étaient pas destinée. Cela lui rappela soudainement la première fois qu'il fût venu jouer ici. Les passants lui déposèrent des pièces et il en fût gêné et eut une envie monstre de leur dire, « je ne joue pas pour ça, ni pour vous » et se dit :« Mais à quoi bon leur dire ça, si ma mélodie réchauffe quelques cœurs égarés, il en est ainsi ».
Ce jour-là, ça musique rassembla beaucoup de monde autour de ce chêne, et c’est là que son regard se posa sur elle. Il pu la reconnaître entre mille, elle n’eut pas changé, toujours ce visage enjoué et ce regard tendre. Son cœur se serra, que pendant un instant, il crut que l’atmosphère fût dépourvue d’air. Elle e regarda tendrement, accoudé sur un arbre, au plus elle le regarda au plus il senti ses mains trembler, au bout de 3 minutes il fût incapable de jouer correctement et il décida donc de stopper net. Les passants commencèrent à s’éparpiller quand ils comprirent qu'il mit fin à cette représentation. Il rangea son violon dans son étui, en se disant que ce qu'il vint de voir fût une simple hallucination. Il secoua la tête en se disant qu'il eut complètement le cerveau pollué de série à la guimauve.
En se retournant, Il s’assura que l’air n’eut pas disparu et il jeta furtivement un regard vers cet arbre où il crut halluciner quelques temps avant mais plus rien et à cette instant il entendit cette petit voix :
-Salut !!
Elle c'est Aya Chuster: Femme mince de 25ans, mesurant 1m56 aux cheveux bleu cyan qui leurs arrivent aux creux des reins et a une poitrine généreuse qu'elle ne cesse de cacher. Elle s'habille assez simplement avec un débardeur, pantalon et basket noirs pour se fondre dans la masse.
Il se retourna instinctivement et elle fût bien là devant lui, sous ses yeux. Elle lui lança un simple bonjour avec ce petit sourire qui lui fût bien familier.
- Heu…salut…répondit-il timidement
- Cela fait un moment, dis donc !! Je ne savais que tu jouais dans ce parc.
- Je joue ici, tous les vendredi soir….c’est mon petit rituel !!
- Heu…c’est marrant parce que je ne passe jamais par le parc pour rentrer chez moi, je ne sais même pas pourquoi j’ai changé mon itinéraire…..expliqua-t-elle
- Hum…….
- …..Dis tu sais que j’ai cherché à te recontacter ? Mais…..
- Pourquoi ?
- Je me suis dit que heu…..
- C’est bon pas la peine Aya. Rentres chez toi !! Pas la peine de te forcer. En tout cas, j’espère que tu vas bien ?
Il prit l’étui de son violon et sortit du parc sans me retourner. Il ne se sentit pas près et il n’eut pas sûr qu’elle le soit elle aussi. Il rentra chez lui, et sur le chemin du retour, il n’arrêta pas de penser à leur rencontre. Eut-il bien fait de réagir ainsi, deux parties en lui se déchirera, il fût heureux de l’avoir revu, il eut voulu passer plus de temps en sa compagnie mais en même temps je redouta de rester près d’elle et de finir par apercevoir un regard empli de mépris. Celui de ses parents pour l’enterrement de son frère fût déjà suffisant pour lui.
Arrivé devant l’entrée de son bâtiment, il constata que ses mains trembla pour taper ce code d’entrée qu'il connu par cœur et qui fût bien la seule chose qu'il ne put jamais oublier même avec le temps. |