Voila je m'essaye de nouveau a la fan fiction. Je sais que ce n'est pas bien brillant, mais j'aimerais vraiment avoir votre avis pour pouvoir m'améliorer, alors n'hésiter pas mettre tout ce qui vous passe par la tête. En tout cas merci d'être venu faire un tour par ici!
Bonne lecture a tous !
- - - - - - - - - - - - - - - -- - -
Chapitre 1 : Lenaïg

Le combat faisait rage.
Au commencement du monde une larme d’ange tomba du ciel. Une douce chaleur et une lumière intense se répandirent, elle mis fin à tout.
S’écrasant sur la Terre ravagé, la larme de Lyra fit naître de tout son amour des êtres vivants, leurs donnant le pouvoir de ce comprendre, de communiquer, d’aimer et d’être aimer malgré leur différence, c’était son souhait. Son souhait le plus cher.
C’était la naissance d’une nouvelle ère et de nouvelles races.
Les animaux venaient en premier, ensuite au moins évolué furent donné uniquement les cinq sens, l’ouïe, le touché, le goût et la vue, on les appelât alors les Romans. Ensuite venait les fées, les lutins, les korrigans, les dryades… qui disposaient de pouvoirs surnaturels. A ce qu’on appelât les Elfes fut donnée un sixième sens celui de la perceptions, ainsi qu’une vue et une ouïe super développé. Beaucoup plus résistant mais avec une sensibilité hors du commun, ils ne tombaient jamais malade, mais pouvaient mourir d’amour ou de tristesse. Les créatures suprême, les Anges protecteur de se monde, se cachaient dans les hauteurs du ciel pour observer le monde.
De puis ce jour Lyra était devenue une Déesse, aussi bien pour les Anges, mais aussi celle de ses « créatures ». On lui édifia des temples, et instaura des fêtes de toutes sortes toujours plus joyeuses les unes que les autres.
Grâce à cela une certaine paix avait réussi à subsister même si, au fil du temps, les relations entre les différentes races se dégradèrent très vite.
Les anges s’aperçurent que certains Romans étaient belliqueux, et voulaient tout contrôler, être les maîtres de ce monde, oubliant ainsi le respect qu’ils devaient à leur créatrice. Ils furent donc bannis et n’évoluèrent plus, condamnés à mourir se détruisant d’eux même.
Les Elfes étaient en harmonie avec les autres créatures de la natures, et, détesté foncièrement les Romans et la demi races qu’ils avaient engendrés en ce mêlant à leur sang. Les Demi Elfes autant que les Romans ne méritaient pas de vivrent selon eux.
Une guerre éclata. La Déesse se mourut de tristesse. Pour apaiser la colère et rétablir l’harmonie, Lyra séparât le monde en deux grâce aux dernières forces qu’il lui restait. Celui appelait Terre était destiné aux Romans et celui de la magie appelait Fantaisy aux autres.
Elle fit aussi naître des élus sur chaque monde afin d’effectuer un périple, pour que malgré la séparation aucun des deux monde ne se meurt.
Sur Fantaisy les félins se relevèrent et se mirent à communiquer avec les autres, on les appela alors Neko.

Depuis que les mondes avaient été séparés d’autre sortent de cultes barbares et sanglant ainsi que des légendes étaient nées, comme celle de la légende d’Ys , un monde engloutie détachée de sa terre d’origine, la Bretagne, qui n’est autre que la porte laissé entrouverte sur Fantaisy. Ainsi les Korrigans qui changeais de monde à leur guise grâce à cette porte devinrent le mythe des landes,

« A la tombée de la nuit il ne fait pas bon se promener sur la Landes prés des dolmen, ou alors les Korrigans t’entraînerons dans leur danse infernale. ».

L’avancée technologiques n’étant plus contrôlé, les romans commencèrent vraiment à ce détruire, ils fissurèrent l’atome. C’était contre nature, la planète commença à se détruire, écrasant peu à peu Fantaisy, et provoquant des catastrophes de plus en plus fréquentes (tsunamis, tremblement de terre, cyclone…)
Le périple entant oublié le déclin du monde s’accélérât, même si les élus continuaient de naître, ils ne savaient rien du rôle qu’ils devaient jouer, et de l’importance cruciale de celui-ci, aussi dangereux fut t’il. Ils avaient le pouvoir de tout changer.

Puis les Anges disparurent à leur tour. Alors, peu à peu sur Fantaisy les rites furent aussi oublié… on ne se rappelé ni des anges ni du visages si serein de la Déesse tant aimé. L’Histoire devint une légende, un mythe, puis le mythe fut oublié. Mais toute l’histoire était consignée dans le livre sacré caché au plus profond des montagnes, qui fut lui aussi perdu jamais…

Lenaïg : Pffff ! Quelle connerie, ce bouquin ! J’aurais jamais du l’emprunter a grand-mère …En plus il est trop chiant !!
*soupir* Franchement quelle genre de livre elle lit Mémé c’est pas possible =_= !
*gros soupir*

Lenaïg referma le livre et s’allongea sur son lit en pensant à tous ce qu’elle avait fait de sa vie pour le moment. D’accord elle était encore jeune et n’avait que 16 ans, mais elle s’ennuyée et rêvait déjà de partir loin, vers d’autres horizons, de quitter sa maison, son quartiers, de changer de vie… Mais non elle était là confinée dans sa chambre pour toute les vacances d’été, avec pour seul limite d’horizons quatre murs, une porte et deux fenêtre. Sympa comme nouvel horizon.
Heureusement elle avait au moins pour compagnie ses livres, comme chaque année d’ailleurs. Ses parents n’étaient pas vraiment riches et ne pouvait pas se permettre de partir en vacances. D’ailleurs ils travaillés tout l’été depuis 20 ans déjà.
Quel gâchis pensât-elle en imaginant toutes ses amies en maillots de bains sur la plage ou au bord d’une piscine à jouer les petites midinettes en herbe.

-J’aurais au moins pu allé chez Mémé, mais elle part chez son copain ….PUTAIN J’PARLE ENCORE TOUTE SEULE !!!

En proie à une grande crise de solitude et de colère Lenaïg commença à balancer méthodiquement tous les cousins et vêtements qui traînaient dans toute la chambre. Elle avait prit l’agaçante habitude de parler à haute voix lorsque elle était seule. Une demi-heure plus tard elle fini pour se calmer et mit a fond son groupe de ska préféré, Stevo’s Teen. Et finalement, au lieu de parler toute seule elle se mit à chanter de sa belle voix de casserole.

-Flowwwer skaaaaa are you ready for the flowwwwer skkaaaa!
Oh yeaaah !!
(L’auteur vous épargne la suite…et les saignements d’oreille qui vont avec)

Et l’après-midi se passa ainsi à enchaîner les titres en sautillant de partout et hurlant dans l’appartement. Quand ses parents rentrèrent ils la trouvèrent endormie d’épuisement sur le canapé du salon-salle-à-manger-cuisine. Ils s’attendrir devant ce spectacle en pensant que bientôt Lenaïg partirait peu être de « la maison ».

-Allé Lena, réveille-toi dit la petite voix calme de sa mère.
-Mmmm, non veux pas allé en cours …st’ple man…répondit t’elle d’une voix ensommeillé.
-Mais voyons ma chérie, ce n’est pas le matin il est 20h30 ! C’est l’heure de manger !!
-Hein quoi !? Oups me suis endormi !!!C’était bien le boulot ? Pas trop fatiguant ? On va pouvoir allé en vacances tout les trois ?
-Tu sais très bien qu’on ne peut pas se le permettre Lena… Il faut économiser pour tes études.
-Mais on a quand même pas mal d’argent !! Alors pourquoi …
-La vie et cher ma chérie rétorquât son père, et comme tu ne sais pas se qu’elle étude tu veux faire…. Allé vient a table, on a tous très faim !

Arrivée au dessert Lenaïg recommença ses questions incessante.

-On fait quoi se week-end ? On va à la mer ? On va faire une rando ?
-Tu vas chez Mémé. Elle nous a appelé aujourd’hui au bureau pour que tu viennes la voir pour le reste des vacances. Elle vient de rentrer de Tunisie. Et puis tu sera mieux là-bas non ?répondit sa mère avec un sourire chaleureux.
-Cool !
(Bon d’accord ça vous fait pas forcement le même effet quand vous allé chez vos grands-parents mais bon c’est toujours mieux que rien non ?)

Lena se précipita dans sa chambre pour faire sa valise et partir au plutôt le lendemain matin. La préparation de la valise fut assez longue vu qu’il fallait retrouver tous les vêtements qui avaient été soigneusement jeté un peu partout.
Le lendemain Lenaïg se rendit donc a la gare avec tout son barda prête a passer les deux mois et demi qu’il resté chez sa grand mère sur la côte armoricaine. C’était son endroit préféré l’été, elle pouvait sortir des jours entiers, faire la fête toute la nuit dans les Fest-Noz, et, les jours de pluie écouter sa grand-mère lui conter les légendes de Bretagne. Mangé des crêpes faits maison était aussi une motivation de plus pour l’estomac gourmant de Lenaïg. Elle avait pensé à prendre le livre pour le rendre et curieusement pendant les six heures de train qu’il la séparait de sa destination elle se mit à le lire avec son walkman sur les oreilles. Cette fois-ci elle s’y plongeât vraiment et ne vit pas que le jeune homme en face d’elle l’observé intensément.

... Il ressurgie parfois dans certains récits anciens, mais pour les Romans ce n’est vraiment qu’une histoire trop fantaisiste. Pourtant ceux qui veulent l’univers pourrait le conquérir en ne lisant qu’une seule de leur page, les secrets les plus redoutable de la magie y sont inscris, se sont les trésors inestimables du patrimoine des deux mondes.
Les contes bretons relatent assez bien les histoires des Fées et des korrigans aperçus sur les landes et dans la forêt de Brocéliande.

Chant 1 :

Un doux rayon de lune, caressa sa peau. Momo la petite Fée se prélassait sur l’épaule de Yué l’Elfe. Kya ! Rien que de penser qu’elle était a côté de lui, qu’elle effleuré sa douce peau blanche et qu’elle sentait son doux parfum de fleur, elle était au bord de l’évanouissement. Pourtant Momo la petite Fée n’était pas très fière d’elle, a cause de sa naïveté ils étaient obligée de coucher dehors à la place de l’auberge de luxe qu’il lui avait promis. Enfin leur mission était quand même de la plus haute importance et personne d’autre ne pouvait l’accomplir ! Le destin du monde était entre leurs mains, tous comptaient sur eux. Ils devaient affronter milles dangers afin de retrouver celui qui pourrait les sauver du désastre.

-Et si tu dormait maintenant ? dit Yué.
-Bah en fait j’arrive pas à m’endormir…répondit Momo toute troublé. En fait je … balbutia elle.
-Qu ‘es ce qu’y a encore ?! demanda-t-il exacerbé.
Non mais c’est pas vrai quoi qu’elle est chiante cette fée pensa t’il très très fort.
Mais Momo n’eu pas le temps de dire les mots qui la démangé depuis leur départ de crystal-city, qu’une flèche se plantât juste a côté d’eux. Toujours sur ses gardes l’Elfe c’était déjà relevé et avait dégainé son épée.
Les assaillants de la nuit eurent vite fais de déchanter face a un tel adversaire. Yué était le meilleur de la contrée. C’était en tout cas ce que tout le monde s’accordé a dire de lui. Momo bien inutile dans ce genre de moment priée pour qu’il ne lui arrive rien à chaque fois. Ses vœux étaient toujours exaucés.
-Il ne vaut mieux pas continuer à traîner par ici, dit Yué en nage, Va chercher Dragon.
-O… oui, dit Momo. Je ferais tout ce que tu voudras !
-C’est vrai ? Alors tais toi.
-Mais…
-Bon alors il vient se cheval ?!
Qu’es ce qu’il peut être désagréable parfois pensa t’elle.
Mais elle était prête à accepter tout de lui. Elle prenait tout de lui même ses défauts que toutes ses louloutes n’arrivaient pas à accepter.
Ils continuèrent donc leur route sous les cieux étoilés. Au petit matin ils atteignirent le dernier village de leur région natale, en suite c’était l’inconnue. C’est donc dans un silence religieux qu’ils traversèrent la ville encore endormie. Un dernier regard en arrière et les voilà dans l’aridité des Apalaches.
La journée fut très fatigante avec le soleil de plomb qui dardait ses rayons. Momo c’était réfugié dans le manteau de Yué, elle supportait très mal la chaleur et dormait tout au fond de sa poche. Quand elle se réveillât la lune était déjà bien haute dans le ciel, un feu de bois éclairé les alentours. Elle trouvât l’Elfe assis à côté du feu entrain de tenter de faire cuire du gibier sans le faire brûler, ce qui était très dure pour lui qui n’avait pas du tout la fibre culinaire. Ils faisaient une bien bonne équipe tous les deux. Elle ne servait à rien en combat mais était pratique pour espionner et savait très bien faire la cuisine, lui par contre à part se battre et draguer il ne savait pas faire grand chose.
C’est donc avec joie que Momo l’aidât a ne pas faire partir en fumée son dînée, elle elle ne se nourrissait exclusivement que de baie. Ils passèrent ainsi trois semaines dans le désert sans rencontrer âmes qui vive.
A l’aube de la quatrième semaine ils aperçurent au loin une caravane des gens du désert, ils s’arrêtèrent donc pour se reposer avec eux. Ils furent bien accueilli et on leur proposa d’escorter le petit convoie en échange ils seraient nourris. C’est ainsi que Momo et Yué voyagèrent de converses avec les gens du désert. Leur traversé en fut moins pénible et beaucoup plus agréable.
Arrivés à l’autre extrémité du désert ils durent se séparer de la caravane et reprirent seuls leur périple à travers le monde. Ils prirent la direction des bois dorées, là bas c’était toujours l’automne, il n’existé aucune autre saison, c’est pour sa qu’on l’avait appelé bois dorée car les arbres avait toujours la même couleur rouge or. C’est dans ces bois que Momo et Yué devaient rencontrer l’Oracle qui les aideraient à trouver le Sauveur qui empêcheraient leur monde de disparaître à jamais dans le Néant.
Momo poussa un long soupir.

-Qu’es ce que tu as ? Demanda l’Elfe
-Je me demande si nous en sommes capable dit-elle.
-Capable de quoi ?
-D’accomplir nôtre mission ! Tu penses vraiment que ce Sauveur existe ? En plus je ne vois pas pourquoi nous ! Nous n’avons même pas les capacités magique de la plus part des habitant !
-Je ne sais pas …
-Alors pourquoi fait on ça ??
-Pour que les gens gardent au moins l’espoir.
Yué la fixât droit dans les yeux.
-Toi ça se voit tu as le mal du pays. Tu sais moi aussi il me manque un peu, dit il.
-Mmmm
-Alors ne commence pas à décourager maintenant ! Nous ne sommes qu’au début de nôtre mission et même si tu n’y crois pas nous devons le faire !
-Oui tu as sûrement raison !
-Voyons j’ai toujours raison qu’est ce que tu croyais au juste hein ? Allé dépêche toi arrête de traîner en chemin ! Tu me fais perdre mon temps ! dit t-il d’un voix dédaigneuse.
-O…oui répondit la petite fée toute gênée de causer du tord a son Elfe chérie.

Yué et Momo arrivèrent à Sylphe, la majestueuse, la ville la plus riche du pays, siège du conseil des cinq grand roi, perle de beauté et de l’esthétique. C’est dans cette ville que leur destin avait été scellé, qu’il avait été décidé que c’est eux qui partiraient.
Absorbé par la contemplation des constructions millénaires de jade et d’opale, ils se perdirent peu à peu dans le dédale des ruelles. Les quartiers mal famés de Sylphe ressemblaient aux dépotoirs qu’on trouve dans toutes les villes, des gamins qui courent n’importe comment et n’importe où, des adultes pas mieux, un brin voleur, mais ce qui frappe surtout dans ces quartiers c’est l’odeur pestilentielle qui est incrusté dans chaque mur, chaque centimètre carré, alors que l’autre côté de la ville sens le propre et resplendit
…
Lenaïg tourna quelques pages.
…
Les loups les poursuivaient à travers la forêt de feuillus. On entendaient leurs souffles tout près et le bruit de leur course effrénée sur le tapis de feuille morte. Dragon faiblissait, avec deux passager sur son dos il ne galopé plus assez vite. Momo voleté a leur côté. Séréna sauta du cheval et se mit en position de combat. Elle traçât dans l’air les gestes quelle répétait depuis si longtemps, mais maintenant elle n’avait pas le droit à l’erreur.
« Ego protectum sum rosam quod anima est hortus glorium.”
Le bouclier de protection se dessinât. Les loups bondirent sur elle mais furent éjectés quelque mètre plus loin. Dans un éclair blanc elle fit apparaître son arme, le Beast, deux lames dépasser de chaque côté du pommeau de l’épée. C’est alors que Séréna commença la danse de la mort…

Lenaïg resta rêveuse. Elle soupira referma et rangea soigneusement le livre sur le dessus de son sac à dos eastpack. C’est à ce moment là qu’elle se rendit compte qu’on l’observé. C’était juste un gamin. D’accord ce gamin devait avoir à peu près son âge mais bon. Pourquoi il la dévisageait d’abord ? Elle avait quoi ? Une tâche sur la figure ? Une sale tête ? Elle s’apprêtait à le rouster et le remettre à se place, quand il sortie de sa contemplation, se rendant compte qu’on l’avait découvert.

-Désolé ! J’essayé de voir se que tu lisais ! dit il.
Mais bien sur pensa-t-elle très fort. A telle point que rien qu’a sa tête il se dit que son excuse était vraiment trop nulle.
-Bon d’accord je ne regardais pas ce que tu lisais… mais oui je regardais ton visage. Y’a quelque chose de mal à ça ?
-Oui ça me dérange ! Et en plus ça ce fais pas !
-Roooo c’est bon t’es pas en sucre tu vas pas fondre !!! rétorqua-t-il.
-Si justement, dit elle avec un air de faussement outré.

Et ils partirent ensemble d’un même rire joyeux.
-Au fait… demanda-t-elle une fois calmé, … comment tu t’appelle ? Moi c’est Lenaïg ! Enchantée de faire ta connaissance.
-Brieg, dit il, enchanté. Tu vas jusqu’ou comme ça ?
-Jusqu'à Plérin. Et toi ?
-Jusqu’au bout du monde…

Brieg se mit à contempler le livre qui dépassé du haut du sac resté ouvert…
« Tututulu Paris gare de Paris Lyon, terminus de se train tous les passagers sont priés de descendre »
Une fois sur le quai Lenaïg perdit Brieg de vue « dommage » pensa-t-elle, ils auraient pu faire l’autre partie de voyage ensemble.
Enfin se n’était que le début du voyage…