*/*/*/*/* Ceci est donc le début de l'histoire de cette jeune fille que vous avez découvert dans le chapitre précédant. Merci de lire (enfin vous n'êtes pas obligez vous pouvez vous arrêter là hein...)gros gros bisousssssssss à toutes et à tous*/*/*/*/*
**Couchée sur mon lit, mes yeux s’ouvraient sur ma montre, cette montre qui a appartenu à mère, il y a tant d’années…14h37, il était temps que je me réveille**
Lorsque je tournais la tête vers ma fenêtre, mon mouvement fut rapidement stoppé par le seul rayon de soleil qui avait réussi à traverser les nombreux bâtiments environnants, pour venir me brûler la rétine.
**Encore une journée qui commence mal, comme bon nombre d’entre elles depuis 12 ans déjà.**
Cela faisait 15 bonnes minutes que je restais là sans bouger, les yeux fermés, toujours avec ce soleil qui continuait obstinément à chauffer ma paupière.
J’entendais le son de la radio dans l’autre pièce, mon père était rentré de l’usine. Habituellement, lorsqu’il rentrait du travail, j’étais déjà sorti, mais là, j’avais passé une nuit mouvementée.
Je me décidais à sortir de la chambre.
Nous nous croisions rarement mon père et moi, c’est pour cela que l’appréhension me collait à la peau en refermant la porte derrière moi.
J’hésitais à lui parler lorsque je le vis, sa canette de bière à la main, cette main brûlée qu’il porta rapidement à sa bouche sans même me regarder. Ma journée commençait à peine et déjà, un sentiment de dégoût me saisissait lorsque je le regardais. Je lança un « salut » bref et pour toute réponse j’eu droit à une seconde gorgée de sa part.
-« Tu peux aller dans la chambre s’il te plait, j’aimerais me débarbouiller un peu ? » lui demandais-je gênée, comme si je lui parlais pour la première fois de ma vie.
**C’était différent avant…**
-« Ouai », il daignait enfin poser ses yeux sur moi, le temps de sa réponse, pour rejeter à nouveau son regard au sol.
**C’était mieux avant…**
Il se dirigeait vers la chambre, son paque de bière à la main, alors que je m’avançais d’un pas rapide vers l’évier.
**Je ne veux pas le voir de prêt, encore moins qu’il me frôle.**
Une fois la porte qui séparait les deux pièces de notre appartement verrouillée, je me décidais enfin à retirer mes vêtements, pris une serviette propre et commença ma toilette. L’eau jaunâtre de l’évier coulait à flot.
**Je ne suis pas si mal ici… au moins j’ai un toit.**
Mais la vision de mon père revint au galop. Quelle déchéance, comment un être humain pouvait-il en être réduit à cet état là ??
**Où était-ce ce monde qui courrait à sa perte ?**
Je me souvenais pourtant, que mon père n’avait pas toujours été ainsi.
Lorsque ma défunte mère était encore là, tout allait mieux, à croire que sa mort a été la cause de tous ces malheurs, la guerre, la famine, la pauvreté, et ce monde qui en est né.
*/*/*/*/* Voili voilou les gens, j'suis pas trop trop fiere de ce chapitre, parce qu'il sert à rien (et que je n'entende personne dire, que s'il ne sert à rien c'est parce qu'il est comme moi...je suis mal aiméeeeeeeeee) enfin bon... maintenant qu'il est posté voyons ce que vous en pensez, soyez dur, mechant, vulgaire, meme pas peur, je tiendrais le coup. Gros bisous lecteurs*/*/*/*/*
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