Resume : Nous sommes au Japon, à l'époque Edo. Une terrible épidémie incurable ayant frappé la population masculine japonaise 80 ans plus tôt, la population masculine a chuté au point d’être réduite au quart de celle des femmes. Les garçons, ont donc été élevés avec grand soin, protégés, tandis que les femmes ont pris en charge tous les travaux quotidiens, la gestion des entreprises. Tous les rôles sont inversés ! En outre, les hommes étant devenus une denrée rare, seules les femmes les plus riches peuvent désormais s’offrir un mari. La charge suprême du shogun est également passée aux mains des femmes. Le shogun domine un pavillon interdit aux autres femmes qui abrite les 800 plus beaux spécimens masculins d'un monde qui en manque cruellement.
Mizuno, jeune séducteur, a intégré le pavillon des hommes du shogun, pour éviter un mariage avec un bon parti que sa mère voulait lui imposer. Il y reçoit un salaire qu’il fait parvenir à sa famille. C'est les larmes pleins les yeux, qu'Onobu, son amie d’enfance et amour secret, l'a laissé partir. Une hiérarchie complexe divise les hommes du pavillon en différentes catégories. Mizuno, entré dans la classe la plus basse va réussir à grimper les échelons de par sa force inhabituelle dans une population masculine globalement surprotégée.
Toutefois, la supériorité au sabre de Mizuno notamment, si elle lui permet de se faire remarquer par le nouveau shogun, lui attire également des inimitiés dans cet univers clos rongé par l'orgueil…
Les points forts de la série:
Une uchronie (dimension parallèle) intéressante signée par une jeune auteure de talent.
La série a remportée le 13e prix Osamu Tezuka du meilleur manga en avril 2009.
Infos supplémentaires:
Prix du meilleur Shojo lors des 56e Shogakukan Awards en 2011
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