Resumen : « DNA Sight 999.9 »:
La planète Lametalle se meurt, lentement, au fin fond de la galaxie.
Sa jeune princesse, Maetel, est confrontée à un destin terrible pour son peuple, fait de famine, de désolation et d'extinction. Dans l'environnement hostile de Lamentalle, seules les machines ont une chance de survivre. Et l'un des plus grands scientifiques de la planète décide la mise en route d'un plan diabolique pour transformer tous les habitants en androïdes sans âmes ni émotions. Afin de porter à terme son plan, ce savant doit absolument capturer Maetel et sa soeur, l'indomptable Emeraldas, pirate de l'espace et amie du fameux Herlock. Alors que ses proches sont capturés et transformés en froides machines, Maetel est face à un choix dramatique : devenir une machine pour sauver sa vie ou quitter son monde et se battre pour sa liberté.
Dans ce téléfilm en deux parties, on découvre enfin l'histoire et les origines de l'une des plus touchantes et mystérieuses héroïnes de l'univers de Leiji Matsumoto.
« Maetel Legend »:
Nous sommes en 2024. Les humains doivent résister à l'invasion de créatures extraterrestres elles-mêmes contraintes à la survie. Aidée par les envahisseurs, une puissance mystérieuse, connue sous le nom de Trader Force, a imposé une dictature féroce sur la plenète bleue. Un soir, le jeune Tetsuro Daiba aperçoit dans le ciel une météorite qui vient s'écraser non loin de chez lui. Arrivé sur les lieux du désastre, il rencontre une étrange femme blonde à l'allure immatérielle... provenant d'un monde lointain, au centre de la galaxie. Venue apporter un message d'espoir, elle dit vouloir aider les hommes dans leur lente et difficile évolution, et posséder un outil permettant l'évolution de d'ADN humain !
Leiji Matsumoto, le célèbre père du mondialement connu Captain Herlock, nous présente ici un dessin animé mettant en scène plusieurs de ses personnages culte parmi lesquels le fameux pirate de l'espace lui-même. Une réalisation de qualité, des dessins recherchés et des effets spéciaux en images de synthèse parfaitement intégrés au scénario font de ce téléfim un spectacle qui ne manquera pas de séduire les nombreux nostalgiques d' « Albator » ainsi que les amateurs de Space Opera. |